Le rideau se lève sur la saison européenne de l’OGC Nice, premier représentant de l’élite française à entrer dans l’arène. Forts d’une 4e place méritée en Ligue 1, les Aiglons s’apprêtent à défier un ogre continental : le SL Benfica, géant portugais au palmarès étoffé, pour une place en barrages de Ligue des Champions.

Et si l’enjeu est déjà colossal, le scénario de la première manche s’annonce encore plus électrique : une Allianz Riviera pleine à craquer, un adversaire en forme, et surtout… l’obligation de marquer.

Un contexte offensif évident

Nice n’a pas le choix : à domicile, avec l’avantage du premier round, les hommes de Francesco Farioli devront attaquer pour espérer survivre au retour à Lisbonne. L’ambition est claire : frapper fort, tôt, et faire vibrer le stade.

Benfica arrive lancé : récent vainqueur de la Supercoupe du Portugal face au Sporting (0-1), les Lisboètes sont déjà en rythme de compétition. Leur ligne offensive, menée par de nouveaux éléments comme Pavlidis, promet une intensité de tous les instants.

Deux visions du jeu, un même objectif : marquer

Nice veut emballer le match. Benfica, solide mais porté vers l’avant, ne refusera pas le combat offensif. Chaque équipe sait que le moindre but peut peser lourd dans la balance.

Et avec deux blocs capables d’exploits individuels (Laborde, Guessand, Boga côté niçois / Rafa Silva, Pavlidis côté portugais), les espaces seront exploités.

Conclusion : un duel qui appelle les buts

Dans un match où Nice doit forcer la décision et où Benfica ne viendra pas uniquement défendre, le pari “Les deux équipes marquent” prend tout son sens. Les dynamiques, le contexte tactique, et l’obligation de performance des deux côtés convergent vers un même constat :

Les filets devraient trembler de part et d’autre à l’Allianz Riviera.